Pays trempé... comme une soupe. Encore une fois, on croit à notre vieille soupe aux tripes, celle que l’on déguste aux bourgades supposées paisibles, voire même visitables, du pays réel. Écran de fumée pour dissimuler la guerre, s’agissant du grand remplacement qui est en cours. Remplacement grand et alors rapide. Les migrants musulmans en tant que futurs colons basculent par milliers chaque semaine du côté des frontières de la Grèce, frontières que le “gouvernement” Mitsotákis garde soigneusement ouvertes à tout vent mauvais. Sous les seuls ordres de Berlin et de la sphère Sóros, Mitsotákis, tout comme avant lui Tsípras, la dernière des pacotilles politiques, accomplit le plus grand crime contre le pays et contre son peuple depuis l’existence de la Grèce contemporaine. Telle est en réalité sa mission.
Carnet de notes d'un ethnologue en Grèce
Une analyse sociale journalière de la crise grecque

jeudi 28 novembre 2019
Basse époque
Pays trempé... comme une soupe. Encore une fois, on croit à notre vieille soupe aux tripes, celle que l’on déguste aux bourgades supposées paisibles, voire même visitables, du pays réel. Écran de fumée pour dissimuler la guerre, s’agissant du grand remplacement qui est en cours. Remplacement grand et alors rapide. Les migrants musulmans en tant que futurs colons basculent par milliers chaque semaine du côté des frontières de la Grèce, frontières que le “gouvernement” Mitsotákis garde soigneusement ouvertes à tout vent mauvais. Sous les seuls ordres de Berlin et de la sphère Sóros, Mitsotákis, tout comme avant lui Tsípras, la dernière des pacotilles politiques, accomplit le plus grand crime contre le pays et contre son peuple depuis l’existence de la Grèce contemporaine. Telle est en réalité sa mission.
jeudi 21 novembre 2019
Ne laissez pas votre pays sombrer
Vent de saison. Sur les côtes de l'Attique, c'est le moment des dernières baignades, des serf-volants, tout comme d'une insouciance alors fausse et déjà morbide. “Ce n'est plus comme il y a dix ans, à l'époque nous n'avions pas de vrais soucis, il faut l’admettre. De nos jours, on se laisse plutôt porter par le vent qui balaie notre pays”, disait l'autre jour un poissonnier à sa cliente sur le port de Rafína. Et à Athènes, c'était la dite “fête”, la commémoration de la presque vraie révolte des étudiants de l'École Polytechnique du mois de novembre; c'était sous le régime des Colonels, en 1973.
jeudi 14 novembre 2019
Passoire... et Pasarán
En Grèce, le 11 novembre n’est pas une journée de la mémoire historique. En 1918, la guerre n’était pas vraiment terminée, la division du pays entre Venizélistes et Royalistes prenait des allures de guerre civile et l’armée grecque se mobiliserait bientôt en 1919 en Asie Mineure contre la nouvelle armée turque des Kémalistes. Campagne perdue pour la Grèce en 1922; la fin de la guerre, ce n’est donc pas 1918. Et en 2019, c’est toujours la guerre, une autre guerre, plus sournoise et alors hybride, il fallait autant s’y attendre.
mardi 5 novembre 2019
Migrationnisme et Xénocratie
C’est le temps des migrants et c’est l’invasion du pays par temps supposés de paix. En violation de toute logique, de la démocratie, outrepassant la volonté des habitants et des élus locaux, le gouvernement Mitsotákis et des autres cireurs de chaussures de Merkel et de Sóros insistent pour imposer le remplacement à terme de la population grecque par plus de 80 nationalités de migrants que la Turquie déplace entre autres par avion via sa compagnie nationale sur son territoire, y compris depuis l’Amérique du Sud, avant de les déverser sur la Grèce. La Grèce est donc en ébullition et alors partout, les habitants et très souvent même les élus locaux se révoltent. Hiver en vue, salade crue et de saison.