• Adieu Greek Crisis !

    Votre blog “Greek Crisis”… voit désormais son cycle vital accompli, car depuis 2011 et après tant de bons et loyaux services à travers plus de 1.000 articles en 4.236 jours soit 11 ans et 7 mois, il était temps de se mettre en parenthèse. Une retraire disons méritée, et même imposée par les “grands événements” dystopiques que nous éprouvons alors tous. Cependant, je suis heureux de pouvoir aujourd’hui vous présenter “GreekCity”, mon nouveau blog que nous pourrions traduire en français la “Cité Grecque”, en somme un panorama de la cité [Πόλις] variée; fait à la fois de géographie, de nature, comme autant d’histoire et d’ethnographie.

  • D’un blog à l’autre !

    Le peuple… a revoté, car c’est d’une répétition finalisée qu’il s’agit. Le vote aux législatives du 25 juin 2023 est la copie conformiste de celui du 21 mai dernier. Copie même augmentée, y compris pour ce qui est de l’abstention dont le taux s’élève à près de 50%. Même cause, mêmes méfaits. Le peuple a voté. Élections législatives sous forme d’opérette, figurants compris.

  • Le peuple… a voté

    Le peuple a voté. Élections législatives du 21 mai. Les résultats que l’on suppose définitifs permettent aux partis de la pouriture de sauver bien plus que la face… et encore davantage. Les trois grands partis… demeurent les trois grands partis pour plus de 75% des votants. C’est déjà “l’essentiel”. La démocrature imposera sinon de sa coalition xénocrate ou la solution finalisée de la Nouvelle démocratie de Mitsotákis forte de son 40%, qu’elle veut renouveler lors des législatives prochaines qui se profilent dans un mois. Et l’on fermera la fenêtre “égalitariste” avant que le vent d’en bas ne se lève. Et déjà, et en dépit de tout, les quelques rares partis du camp des résistants patriotes ont marqué certains… bien pauvres points.

  • Campagne électorale

    Pluie et vent en Thessalie profonde, avant le retour du soleil, prévu pour la semaine prochaine, celle des législatives du 21 mai. En attendant, affiches suintantes et candidats… mouillés jusqu’à l’os. En somme, rien de très nouveau à signaler. Pays typique, à faire sinon découvrir aux heureux participants de greceautrement.fr et ils en ont plein les yeux et les oreilles, le contexte électoral en plus.

  • Démocrature de mai

    Pays grec en ce 1er mai, célébrant ses fleurs, après ses derniers et rares ouvriers trahis de la fête. Les gouvernants quant à eux, ils honorent les débuts officialisés de la saison touristique, que l’on dit déjà “dynamique”. C’est vrai que nos touristes sont de la partie, dont certains Ukrainiens, en imperturbables loueurs de voiliers en Golfe Saronique ou dans les Cyclades. Économie… de guerre.

  • Bâton de perlimpinpin

    La saison s’ouvre et le vieux pays se visite de manière agréable ; ou comme on le dit parfois, bien en circuit guidé. On peut même y goûter çà et là du bon vin local, à Némée par exemple, toutefois désormais sans Héraclès et sans son lion. Les mythes ont sûrement une vie et non pas plusieurs.

  • Pâque orthodoxe grecque

    Nos dieux meurent… pour peut-être mieux ressusciter. Célébration de la Pâque dans la tradition Orthodoxe grecque ; la messe… est ainsi dite par le père Pétros, originaire de la lointaine Afrique, Samedi Saint au soir dans une petite chapelle du Péloponnèse en ce 15 avril 2023. Enfin un juste mais bref moment pour le triste village côtier, triste car désormais peuplé de moins de six habitants en dehors de l’été, quand ses visiteurs de la Résurrection, essentiellement originaires des lieux, auront à peine sauvé la face.

  • Mémoire tampon

    Temps qui défile. Au 25 mars dernier, bien vite passé, le pays grec faisait encore semblant de célébrer sa fête nationale, en très lointain souvenir d’ailleurs retravaillé, de la Révolution des Hellènes, initiée en 1821. C’était alors pour se libérer du joug des Ottomans… pour sitôt choir dans le puits sans fond ni fin, de Londres et des Rothschild. Nouvel État grec par un si vieux monde moderne.

  • L’aimé des dieux

    En pays grec, les histoires de caste se complètent et se répètent. Il n’y a que le casting qui change au gré des saisons que l’on dit d’ailleurs datées en histoire, et encore. C’est la preuve même, s’il en faut, qu’une caste politique entière sous la Démocrature d’Athènes, refuse de disparaître et qu’elle se porte bien, et même grandit de prédation en privilège sous le Régime globalisé de la Xénocratie. Le peuple quant à lui, ira à la pêche… en attendant ses touristes pour leur vendre l’ersatz d’Apollon et d’Artémis, comme déjà en ce doux Péloponnèse des côtes et des hauteurs.

  • Marche forcée

    L’évidence tue. Elle est mauvaise, bien mauvaise quand en plus, elle dure si longtemps. Cependant, elle finit par être avérée et même dénoncée, par une partie grandissante du pays réel. Comme au départ fatal, donné aux trains de la mort des grandes lignes grecques, ils ont réveillé certains, peut-être bien pour un certain temps. Les jeunes crient dans la rue “Vous avez tué de notre génération”, et c’est la génération justement, n’ayant pratiquement vécu que sous la Troïka. Temps nouveaux.