Depuis ce matin, les radios athéniennes ne diffusent plus leurs émissions habituelles car nos journalistes sont en grève. Nous apprécions alors une fois de plus avec boulimie... la pose musicale qui nous est offerte. Qu’il soit voulu ou pas, tout affranchissement, toute évasion certes provisoire de notre jardin d’acclimatation au paramétrage imposé par les temps mémorandaires, est une véritable bouffée d’oxygène.
* Photo de couverture: “La civilisation contre la barbarie - Non au fascisme”,. Athènes, le 28 octobre